Jerry B. Galloway
Messages : 21 Date d'inscription : 20/06/2009
| Sujet: Jerry Galloway { Corner of your Heart } Sam 20 Juin - 17:58 | |
| | Général
Jerry Braison GALLOWAY Kevin JONAS
Age : 27 ans Date & Lieu de Naissance : 13 Septembre | | Boston, Massachussets Nationalité : Américaine Groupe : Clients de l' Hotel Postes vacants ou inventés ? : Inventé
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Histoire (10 lignes minimum)
Aussi loin qu’ elle remonte, l’ explication de mon prénom, parce que c’ est bien la qu’ il faut commencer, est la chose la plus absurde qu’ il m’ ait été donné d’ entendre. Jerry, c’ est un beau prénom quand on y pense, mais quand on sais que ma mère m’ an nommé ainsi à cause du dessin animé que le personnage du même nom partage avec Tom, c’ est.. Débile. Je vais pas m’ attarder dessus, je vois bien que cela ne vous intéresse pas. Passons au reste de mon enfance. Je suis le second d’ un famille de quatorze enfants, dont une seule fille, Lily. Pauvre brebis perdue dans le troupeau de moutons que nous étions, mes frères et moi. Et pauvre de vous, qui devez vous inquiétez pour mes parents, qui avaient tant d’ enfants. En somme, il s’ en sont bien sortis, puisqu’ il venaient d’ un des famille les plus aisées du Massachussetts, et des notre plus jeune âge, mon ainé, mes cadets ( Et mon unique cadette ) et moi avons voyagé dans plusieurs pays. Nos parents tenaient tellement à nous faire apprendre le Français, l’ Arabe, le Marocain, l’ Espagnol, et j’ en passes, qu’ il avaient engagés pour chaque langue, un précepteur venant du pays ou elle était parlée. Nous étudions à la maison, et nos professeurs particuliers de Langues, de Mathématiques, de Musique et bien d’ autres se succédaient l’ uns à l’ autre. J’ oublies de dire qu’ ils avaient négligemment le droit de nous frapper s’ il le jugeaient nécessaires… Combien de claques, de coups de règles sur les doigts, combien de temps passés à recopier soigneusement des passages infinis de la Bible, ou à nous promettre de mieux apprendre la prochaine fois, les genoux appuyés sur une règle en fer et tenant cinq ou six livres au dessus de nos têtes avons-nous pu recevoir ou passer, mes frères et moi. Seule Keeley, jugée trop faible pour recevoir des corrections étant donné qu’ elle était une femme, et Brian, Brian notre agneau fragile qui a quitté cette terre pour l’ autre rive à l’ âge de douze ans, échappaient aux punitions.
Nous étions heureux malgré tout. Nos parents privilégiaient les voyages à l’ étranger, et nos roulions presque sur l’ or, mais aucun de nous ne s’ en ventait. Nous étions bien trop croyants pour nous comporter ainsi. De toute façons, nous n’ en aurions guere eut le temps puisque chacun de nous devait partir à l’ age de douze ans dans un pensionnat se situant à New York. J‘ ai compris en me renseignant vaguement qu‘ il s‘ agissait d‘ un des plus riches et des mieux placés dans l‘ apprentissages des Etats Unis, mais quel déboire furent ces années. Se mêler aux autres élèves était déjà l’ horreur. Les fils à papa et à maman, se ventant d’ avoir déjà battu à mains nus un ours alors que tout le monde sait qu’ il n’ y en a pas dans Manhattan, ou d‘ avoir remonté une partie de l‘ océan Indien à contre courant, en trois jours à peine. Et les autres qui n‘ avaient rien à dire, ceux qui écoutaient, ces imbéciles ! Ils les croyaient, les regardaient bouche ouverte comme s‘ ils voulaient gober des mouches plutôt qu‘ écouter les histoires. Le seul point positif de cet univers fut Belle. Belle, dont le prénom disait tout sur elle, et comme moi, elle le devait à un de ces vieux dessins animés qui passait sur les chaines de l’ époque, et que le personnage partageait cette fois avec Sébastien. Je vais pas m’ attarder à vous raconter tout nos bons moment, mais je l’ ai mise enceinte quand elle avait quinze ans. Point. Je peux vous dire que ses parents m’ auraient écorché vif s’ il m’ avait eu sous la main quand ils reçurent la lettre qu’ elle leur écrivit, mais elle leur annonça ne pas vouloir garder l’ enfant. Elle l’ allaiterait le temps qu’ il faudrait, puis ce serait à moi d’ assumer un gosse. J’ ai ricané quand elle m’ as dit cela, mais je ne pouvais pas m’ y opposer : Elle comme moi étions, en raison de notre religion, dans l’ incapacité de penser ne serait ce qu’ a avorter. J’ ai quitté le pensionnat à seize, un môme de dix mois sous les mois, et j’ ai bien du commencer la vraie vie. Ben oui, comment je le nourrissais sinon ? Déjà que mes parents me refusaient l‘ entrée chez moi, la pension qu’ il m’ avait accordé par mois était bien suffisante, mais je voulais que ce gosse se dise que son père était quelqu’ un de responsable, quoi. J’ avais mon permis qu’ il m’ avaient aussi payés, et tout les jours, je me faisaient l’ aller et retour en voiture jusqu’ a mon boulot de serveur dans un restaurant chic. J’ avais quand même de la chance, parce que les filles du restaurant trouvaient Jamie - c’ était le nom que je lui avait donné - tellement mignons qu’ elle insistaient pour le garder. Et il a grandi, mon fils. Il a soufflé sa première bougie, la deuxième, la troisième. C’ était fou comme il était intelligent, en plus. Il était craquant, avec sa petite bouille. Et quand il a eu cinq ans, j’ ai quitté New York. Je suis parti la ou mes pas me guidaient, avec Jamie, ma voiture et tout mes affaires. Il avait six ans quand on est partis, mon fils. Et moi, j’ en avais vingt et un. J’ étais fier de lui, il était tellement intelligent même s’ il avait pas de maman. D’ ailleurs, même maintenant, alors qu’ il a neuf ans, il a don en classe. Il l’ ont même envoyé au collège, parce qu’ il surdoué paraitrait il. Je suis fier de lui. Et il y a trois mois, on est revenu à New York, dans le quartier ou j’ étais avant. On habite à l’ hôtel tout les deux, maintenant. J’ suis bien, avec mon fils surdoué. J’ espère quand même qu’ il va pas trop le devenir, parce que voila. Mais je suis riche. Je peux lui payer toute les écoles qu’ il veut, tant qu’ il peut réussir. Au fond, j’ suis heureux. Je demande rien d’ autres que le bonheur de mon gamin pour en avoir, et il est heureux. Je sais pas ce que je peux dire de plus…
Caractère ( 5 lignes minimum)
Comment je peut décrire mon caractère, sans exagérer ni me rabaisser ? J’ en ai aucune idée, mais on peut essayer. Mes défauts, pour commencer, puis on finira par les qualités. Je suis quelqu’ un qui s’ énerve assez facilement, surtout quand il s’ agit de mes enfants. J’ ai du mal à accepter qu’ on le critique, même s’ il est légèrement dynamique. En gros, il court partout, mais c’ est de son âge. Eh bien, je déteste qu’ on me dise que je ne sais pas le tenir, j’ ai l’ impression qu’ on le compare à un chien avec une laisse. Je dois être surprotecteur, aussi. A chaque fois que Jamie veut aller quelques part, même s' il a onze ans, bientot douze, je vais avec lui et les deux autres nous suivent. J’ ai tellement envie que rien ne lui arrive qu’ il faut que je l' accompagnes à chacun de leur déplacement, fut il au rez de chaussé de l’ hôtel. Déjà que j’ arrive pas à lui refuser quoi que ce soit. Mais bon, il y a des fois ou je dois dire non. Parce qu’ enfin, on était quatre, on a failli devenir une ménagerie, parce que Jamie voulait trois chiens, deux tortues, six poissons rouges et un poney. J’ espère que l’ hôtel accepte pas les animaux, parce que c’ est ce que j’ ai dit à Jamie. Ben oui, il y a une limite, même pour les surdoué. Jamie me repeter tout les jours que je suis plus gentil, le plus génialissime et tout. Je sais pas si c’ est vrai, mais cela fait plaisir. J’ ai pas tellement de qualités, en fait. A part cela, je penses que je suis plutôt simple. Si Jamie refuse que je l’ aide pour ses devoirs, sur lequel il passe du temps parce qu’ il veut absolument la bonne réponse à tout, je suis pas tellement du genre à me prendre la tête pour quelqu’ un chose. Quand j’ arrives pas, j’ arrête. Comme la. Je sais plus trop quoi dire, donc je vais arrêter la liste. C’ est tout.
Physique (4 lignes minimum)
On me dit souvent que je suis beau. Je ne sais pas si c’ est vrai, hormis le temps que je passe devant mon miroir, j’ ai du mal à juger. Et puis, comme je traine mes trois enfants partout, j’ attire pas vraiment les filles. Elles doivent se dire que je suis marié ou quoi. On va laisser tomber cela. J’ ai les cheveux lisses la plupart du temps, bien que certains jours, il m’ arrive de les laisser bouclés, quand j’ ai pas le temps. Mes yeux sont noirs, et mes cheveux sont bruns, virant au châtain foncé. Pour style vestimentaire, j’ aime tout. Les jeans, les short, les costumes lors des fêtes, les tee shirts, les sweat, tout. Je m’ habille assez facilement, à vrai dire. Qu’ est-ce que je pourrais vous dire d’ autre ? Rien, sans doute. Alors idem, j' arretes la liste.
Relation amicale & Amoureuse (2 lignes minimum)
J’ ai pas de petite amie, je suis pas marié, ni rien. J’ ai mon Jamie, mon fils que j’ aime plus que tout, et cela me suffit. Peut être qu’ un jour, je lui trouverai une mère. Il lui en faut une, mais pour l’ instant, j’ ai pas trop envie d’ y penser. On verra plus tard. Pour ma famille, je suis le deuxième de quatorze enfants, dont une seule fille. C’ est tout. Mon gamin, mes frères, ma sœur, et mes parents, voila ce que j’ ai comme relations.
Qui se cache derrière ?
Prenom/Pseudo : Mongolita, Darliing, Chupa Chups, Bonbon au Caramel etc ^^ Age : 15 ans Comment trouvez vous le forum : Bien, sinon je ne serais pas la x) Comment l'avez vous connu : Par ma mongolita de mon <3 Double compte ? : Neiin Code du règlement : NYPH
Dernière édition par Jerry B. Galloway le Sam 20 Juin - 20:42, édité 8 fois | |
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Noah Walker
Admin •• King Of Your Heart
Messages : 72 Date d'inscription : 16/06/2009
Me & You Love,Friends,Hate:
| Sujet: Re: Jerry Galloway { Corner of your Heart } Dim 21 Juin - 2:27 | |
| Bienvenue Un mec! Haha! Bon jeu parmis nous | |
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